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DOSSIER LA JUNGLE DE CALAIS ... OU DEBUT DE GUERRE CIVILE EN FRANCE ... A SUIVRE ...

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Les CRS parlent , la guerre civile est imminente... préparez vous !!!

- ce que les medias vous cachent

 

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mardi 8 mars 2016, par Christian Scherer

Les CRS parlent , la guerre civile est imminente... préparez vous !!!

VEUILLEZ LIRE, NE SERAIT-CE QUE POUR ETRE INFORMES DE CE QUE LES MEDIAS VOUS CACHENT...


Voici le reportage "Journal d’un CRS" que vous ne trouverez nulle part ailleurs car totalement interdit !


PAROLES DE POLICIER : (Prenez le temps de lire jusqu’au bout).


Ce journal de bord relate le quotidien des missions dont sont chargées nos CRS. Il ne s’agit nullement d’un texte d’anticipation mais de la narration sur le vif du début de la guerre civile qui a commencé sur notre sol. Pour le moment, cette guerre civile est contenue dans le périmètre de « La Jungle »à Calais. Comme nous le prévoyons, attendez-vous à ce qu’elle se propage dès que sera donné le signal de l’assaut général. Un assaut minutieusement préparé contre la France. Contre notre civilisation. Contre vous...


Ce CRS raconte :
"Au rassemblement, on nous demande une fois de plus de ne pas dire ce qui se passe ici aux gens que l’on connaît. IL FAUT CACHER LA VÉRITÉ comme l’argent qui leur est donné chaque jour, les 3 repas par jour offerts, la nourriture distribuée directement au camp, les vêtements souvent neufs, le fait qu’ils aient tous, je dis bien TOUS, des smartphones dernière génération (ceux que l’on ne peut pas se payer en travaillant), les soins gratuits à outrance − d’ailleurs je plains les pompiers du coin − le fait qu’ils détruisent une partie de la nourriture qui leur est offerte car ils n’ont pas ce qu’ils ont commandé…"
Une honte de les garder sur notre sol !


"La matinée a été longue. Très longue. Le manque de repos sur cette mission commence à se faire sentir. Enchaînement incessant des services à différents horaires… De jour comme de nuit. Qu’il vente, qu’il pleuve, qu’il neige… Enfin… Nous ressentons du dégoût à ne pouvoir faire du travail de police, grandir, ici et là, dans des conditions dangereuses. Nous sommes là et las. En surveillance sur une bande d’arrêt d’urgence pendant six heures (endroit où l’on dit que la durée de vie est calculée statistiquement à moins de quinze minutes) constatant, impuissants, que les routiers de tous les pays empruntant cette voie, se moquent de nous, policiers présents… Ils débouchent sur ces voies rapides sans prendre gare aux véhicules déjà sur cet axe, à toute allure, nous rasent sans ralentir, s’engagent devant nos yeux sans respecter les règles de sécurité, les règles de priorité ni le code de la route… Nous sommes frôlés par ces semi-remorques lancés à plus de 90 km/h, ce qui rajoute au mauvais temps, une dimension surréaliste. En d’autres endroits, nous jouons les « cônes de Lübeck », ces fameux cônes en plastique orange aux bandes blanches réfléchissantes, qui servent à matérialiser un accident, un danger ou des travaux, posés devant des trous dans le grillage qui coûte une fortune. À chaque trou bouché ou pas, un ou deux policiers restent là, sous les caprices des éléments et du temps, à attendre une potentielle attaque !


Les migrants viendront. Un sas de sécurité a été installé, des barrières gigantesques de 4 ou 5 mètres de haut, distantes en parallèle d’un mètre cinquante sur plus de 35 kilomètres… J’en suis loin, je pense. Chaque jour, ils cassent en différents endroits, là où nous ne sommes pas ! Les réparations elles aussi coûtent une fortune.
04:30 : réveil puis nous arrivons à l’heure du repas.


13:20 ― Nous n’avons vu personne. Pas un migrant sur notre point. Le temps de se restaurer, de reprendre la direction de notre hébergement, déchargement de l’armement collectif et douche sans traîner.
15:15 ― Dans 8 heures, nous reprenons le service. La nuit prochaine, nous travaillons. Ce soir, ce sera une prise de service à 23:30 pour terminer (en théorie) à 07:00 du matin…


Arrive l’heure de reprendre le service. Les mines sont fatiguées. Le bonjour jovial, reste marqué d’une fatigue flagrante qui se lit de plus en plus sur les visages, comme une écriture. Au rassemblement, la température de la journée est donnée : quelques grenades lancées, beaucoup d’activité sur les voies rapides, mais plus encore en soirée. En fond sonore, une radio embarquée dans l’un des véhicules-recueil est active : « sur le point Golf-Alfa-2, ils sont au contact. Ils lancent des barres de fer et des pierres. Un de chez nous est touché légèrement. Avons utilisé une dizaine de grenades MP7 [1]. » […] « Deux poids-lourds accidentés à cause de blocs de béton sur les voies rapides. Les avons dégagés. Demande renfort de 2 véhicules ».


Pendant ce temps, nous est rappelé le cadre de l’utilisation du lanceur de balles de défense. Le lanceur de 40 est une arme de défense intermédiaire dotée d’un viseur point rouge non projeté. Il lance des balles de caoutchouc et touche à plus de 50 mètres. Malgré tout, son utilisation est très réglementée et contraignante. Il nous est rappeléégalement que dans le cadre de notre travail, il est autorisé aux gens de nous prendre en photo !


Anarchistes des groupes "NO BORDER"
Les « NO BORDER » [2] incitent les migrants à nous tendre des embuscades (bien qu’ils n’aient pas besoin de conseil pour le faire) pour prendre des photos et des vidéos pour dénoncer des “failles” dans notre manière d’intervenir ou des images pour nous mettre en cause. Mais surtout, ils espèrent faire un maximum de blessés dans nos rangs.
Le chargement de l’armement collectif se fait au cul du camion-armurerie. Des "blagounettes" sont lancées ici et là pour faire oublier que nous serions mieux dans un lit bien chaud, dans nos foyers et non sous ce crachin permanent qui nous recouvre petit à petit…


Femmes et enfants ou parents, pour beaucoup, sont la pensée du moment, mais seront relégués au second plan dans une minute ou deux. Les rôles de chacun dans le VR [3] sont distribués. « Qui est habilité LBD [4] ? »– « Moi » répond Julien. Comme les autres, je prends un LBD. Moi, je dis : « Perso, je prends en compte le lanceur Cougar [5] ». Il lance des grenades au coup par coup mais avec de l’habileté, il se manie très bien et se recharge vite. Son bruit détonnant ressemble à celui d’un mortier. – « OK » lance le chef de bord. « Qui veut des grenades à main ? » Elles sont réparties dans les gilets tactiques (qui n’ont de tactique que le nom) censés nous protéger de coups éventuels, absorber des chocs, mais aussi permettre le transport de matériel supplémentaire. La répartition des grenades et conteneurs lacrymo faite, je m’emploie à mettre le gilet de grenades pour le lanceur Cougar. Il est lourd. Il contient des grenades avec un dispositif de retardement [6] pour les lancer à 50 mètres, d’autres à 100 mètres. La fermeture est cassée. Sur les ondes, on apprend que les effectifs que nous allons relever sont pris à partie en de nombreux endroits. Il va falloir faire vite.
Les jambières sont mises, les casques vont se visser sur nos têtes rapidement…

Le LBD et le Cougar sont alimentés d’une cartouche chacun, prêts àêtre utilisés au besoin. À la radio, la station directrice ne sait plus où donner de la tête. Il faut des renforts partout, sur presque tous les points. Ordre nous est donné, bien que nous soyons en dynamique cette nuit, de renforcer ponctuellement un point situé juste derrière le camp des migrants : « la Jungle ».


00:15 ― À notre arrivée, l’atmosphère est tendue. Le bleu des gyrophares inonde la nuit et se reflète sur nos visages à moitié protégés. Les consignes sont prises. Nous voilà seuls. Deux VR montés de cinq hommes chacun, casque sur la tête. À nos côtés, une vingtaine de personnes viennent à notre rencontre. Certains sont en treillis camouflé, bonnet ou cagoule noire. Ce sont les hommes et les femmes du collectif « Les Calaisiens en Colère » [7]. Ils tentent de protéger leurs biens, mais donnent aussi de bonnes informations sur les événements passés ou à venir, sans avoir peur, le cas échéant, de combattre aux côtés des Forces de l’Ordre !


La semaine avant notre arrivée, « Les Calaisiens en Colère » ont apporté une aide considérable aux collègues présents.
Assaillis de tous côtés, les policiers ont utilisé toutes leurs grenades et se sont retrouvés face à des migrants armés de couteaux et barres de fer.


N’écoutant que leur courage, « Les Calaisiens en Colère » sont venus se battre au coude à coude aux côtés des forces de l’ordre qui, bien qu’ayant informé la hiérarchie qu’elles n’avaient plus de moyens intermédiaires pour contenir les assauts répétés, ont reçu l’ordre de rester sur place.


Ça bouge sur un petit chemin plongé dans le noir complet, longeant la voie rapide. Nous intervenons pour dégager des amas de barres de fer, de blocs de béton et je ne sais encore quels autres projectiles de fortune entassés et abandonnés par un groupe de migrants qui voulaient les lancer sur les voies de circulation.


01:20 ― La situation est calme pour nous. Les pompiers interviennent dans le camp, escortés par une de nos patrouilles (5 hommes) pour secourir un individu blessé par arme blanche.
02:00 ― Au loin, des silhouettes traversent la petite route sur laquelle nous sommes implantés en direction d’habitations civiles. Ici et là, sur les ondes radio, on entend signaler des vagues de migrants de 40 ou 50 individus.


02:30 ― Les riverains et amis du Collectif quittent les lieux. Nous sommes plongés dans le calme de la nuit, avec un éclairage faible.
02:45 ― Sur les ondes et partout alentours, on entend hurler que de nombreux camions sont arrêtés, assaillis par des vagues de 50 migrants, dont certains accidentés sur la voie rapide. À pied en courant, nous venons prêter main forte à l’effectif originaire de l’information ; dessous, une multitude de véhicules immobilisés, presque au contact les uns des autres qui, miraculeusement, ne se sont pas percutés les uns les autres.
Pareil à des Gremlins, de « petits démons noirs » surgissent de toutes parts des fourrés Ils prennent d’assaut les cabines de poids lourds, armés de barres de fer.


Déchaînement de violence

La Sécurité retirée, du haut du pont, quatre salves de 3 Cougars (soit 12 grenades) arrivent à mettre en fuite les assaillants qui se trouvent à 80 mètres. Nous arrivons, malgré l’excitation collective, à ne toucher aucun camion avec nos projectiles ! Une fois les assaillants repoussés par des effectifs venus en renfort sur la voie rapide, le déblai des gravas peut commencer.


À notre tour, nous arrivons à bord du véhicule venu nous récupérer sur ce qui ressemble à une « zone de guerre », zigzaguant entre les véhicules arrêtés et des débris de toutes sortes. Sur les ondes, ordre nous est donné de remonter sur le même axe pour prêter main forte aux collègues qui se trouvent en niveau bas de grenades, à quelque 300 mètres plus haut. À leur hauteur, nous sautons de notre véhicule encore en marche car nous constatons qu’un effectif se trouve contre la rambarde de sécurité. Des projectiles arrivent à les atteindre.
Les objets sont jetés depuis une zone boisée sans que l’on puisse distinguer les individus… Seuls des cris venant des fourrés dans des dialectes inconnus.


Parfois un NIQUE LA POLICE ou FUCK THE POLICE se mêle aux ALLAH AKHBAR ! et à leur slogan favori : VIVE DAESH !
M. Bernard Cazeneuve s’adressant à des réfugiés… « syriens » peut-être (?)


David, l’un de ceux que nous sommes venus appuyer par le tir, braque son faisceau lumineux et me demande d’envoyer une MP7 (lacrymo) dans la direction d’où il pense que partent les lancers. Avec 3 tirs de Cougar, j’arrive enfin à saturer l’endroit et à mettre en fuite le petit groupe de perturbateurs. Le vent nous est favorable. On en profite, mais les effets psychologiques ne sont pas négligeables non plus. Juste au dessus, 300 mètres plus un groupe de 20 à 30 individus virulents, armés de barres de fer, prennent le temps de jeter des panneaux de signalisation, des poteaux métalliques arrachés plus loin et des poubelles par dizaines au milieu de la voie rapide. Nous progressons avec un effectif de la section 3 : 2 Cougars et 2 agents munis de conteneurs lacrymo. La progression se fait sous la protection de tirs Cougar. Les migrants ripostent avec des objets métalliques qui s’écrasent à nos pieds en formant des étincelles et rajoutant des décibels au vacarme environnant. Certains sont presque au contact. Visage barbu pour les uns, imberbe pour les autres, âge moyen de 20 à 30 ans. Robustes. Regards pleins de haine. Des yeux à la flamme meurtrière nous font face.


Il nous faut prendre cette partie haute. Mais l’endroit d’où viennent les pierres nous est caché par la végétation qui les protège. Avec le Cougar, le tir devient tendu pour tenter de pénétrer l’épaisse végétation. Effet immédiat : ça les fait reculer et descendre jusqu’à l’entrée du camp. Pendant que je m’occupe de cette partie, les autres, derrière moi, protègent mes arrières et mon latéral.


La place devenue nôtre. Je me mets en protection avec le Cougar, le temps que les collègues sortent les nombreux débris accumulés. En bas, une centaine d’individus (pour beaucoup masqués) vocifèrent, tendent les poings en notre direction et des barres de fer de plus de 1,50 m. D’autres se sont regroupés sous le pont, juste en-dessous de nous. Une bonne cinquantaine, qui attendent en guet-apens et ramassent de nombreux projectiles. Un petit groupe de 5 individus rejoint les autres en courant, leur tendent les mains et se séparent à droite et à gauche du camp.


L’évacuation des gravats n’étant pas terminée, je reste sur le point fort, ce qui semble leur poser un problème quand tout à coup, venant de droite à l’entrée du camp, des projectiles sont lancés vers nous pendant que d’autres assaillants tentent de se rapprocher. Une vraie stratégie de guérilla. J’effectue un premier tir en cloche. Mais la MP7 avec un DPR 100 mètres (dispositif de retardement) – il ne me reste plus que ça dans le gilet – tombe juste derrière eux. Le vent ne m’étant pas favorable, je décide de tirer en direction des pieds à 10 mètres devant ceux qui arrivent au contact. Le tir parfaitement exécuté, repousse les assaillants. Rechargé rapidement, j’utilise une seconde fois le Cougar contre le groupe dont les projectiles arrivent jusqu’à nous. Je réussis à l’aide du rebond sur un baraquement visé, à atteindre ma cible avant que les plots de lacrymo ne soient expulsés hors du corps de la grenade. Un des individus tente de la saisir. Trop tard. Boum !


Au passage, protégeant un groupe de chez nous venu en soutien sous le pont pour couper l’assaut des migrants en leur direction, je tire une grenade qui arrive droit sur un homme en train de jeter des pierres sur l’effectif d’en bas, le percutant vers le visage. Le carton rouge étant brandi, ce dernier regagne les vestiaires sans demander son reste.
La situation est maîtrisée sur le point maintenant tenu par d’autres effectifs de chez nous.


Nous sommes requis par notre station directrice qui nous envoie en renfort d’un équipage de l’autre côté du camp, endroit où nous avons commencéà grenader en début de soirée. Sur les lieux, nous effectuons encore des tirs sporadiques de MP7 sur des migrants qui nous arrivent dessus en courant et en hurlant.


06:50 ― La nuit se termine. Nous sommes relevés. Esprit calme. Une nuit comme on aimerait passer plus souvent… (!)
La vacation suivante se révélera être beaucoup moins valorisante. Le véhicule est posé sur un rond-point donnant vue sur 2 entrées du port, avec 2 effectifs au sol de 19:30 à 02:00 du matin. Un vent d’au moins 120 km/h et une pluie battante n’épargnent même pas le dessous du pont juste à côté. En tout et pour tout, un seul migrant est venu tenter sa chance sur notre point pendant que de l’autre côté de la ville, des grenades tombent à foison.
J’en passe… C’est trop long.... Je suis fatigué..."


Type de lance-grenades utilisé par les Forces de l’Ordre.
> > [2] Réseaux anarcho-libertaires transnationaux investis dans les luttes pour la liberté de circulation et l’abolition des frontières, contre les politiques de contrôle de l’immigration. Apparition : 1999.
> > [3] Véhicules-Recueil.
> > [4] Lanceur de Balles de Défense (arme sublétale ou incapacitante, plus connue sous le nom de « Flash-Ball », marque commercialisée par Verney-Carron).
> > [5] Lance-grenade simple action de cal. 56 mm / portée : 50, 100 ou 200 mètres / poids : 3,7 kg.
> > [6] Le DPR (Dispositif de Propulsion à Retard, réglé en fonction de la longueur du lancement de la grenade).
> > [7] Voir la page Facebook des « Calaisiens en Colère »
Vous avez lu... Libre à vous de diffuser ce témoignage à tous vos contacts... Ne serait-ce que pour informer le maximum de Français de ce que vivent nos forces de l’ordre à Calais... Et bientôt en France car, sans être outrancièrement alarmiste, il est indéniable que ce flot de migrants renferme bon nombre d’intégristes musulmans qui nous conduisent peu à peu vers une probable...


GUERRE CIVILE... Mais chut... pas d’amalgame !

 

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Les pseudos calaisiens « en colère »

Sauvons Calais (SC) / Les Calaisiens en Colère (LCEC) :
Quels points communs ?
-Les deux pages représentent des collectifs citoyens.
-Les deux pages luttent contre l’immigration.
-Les deux pages dénoncent des faits et organisent des manifestations.
-Les deux pages sont qualifiées d’extrême-droite.
Quelles différences ?
–Le collectif SC a ce qu’on peut appeler une hiérarchie, avec un seul représentant accompagné de plusieurs conseillers, un service de sécurité et une branche très active de militants. Tout le monde a le droit à sa place. Le collectif LCEC n’a aucune hiérarchie, il est géré par 20 représentants, il n’a aucun service de sécurité pour encadrer les événements mais a tout de même certains militants, tous très dépourvus d’argumentation fiable.
–Le collectif LCEC est présent depuis 3 mois (5 juin 2015) et a attendu que les projecteurs soient braqués sur Calais pour « intervenir » et avoir leur part sur le mouvement anti-immigration. Le créateur, Samuel Delcloy, est colistier pour le Front National et ex-membre de la Génération Identitaire. Cependant, il refuse les membres nationalistes ou trop à droites et se dit apolitique. Le collectif Sauvons Calais n’a pas attendu que la ville soit à bout de souffle pour bouger. Il est présent depuis bientôt deux ans (25 octobre 2013) et a su faire preuve de persévérance. Malgré les nombreuses épreuves que le collectif SC a passé (dépôts de plaintes, diffamation dans les journaux, reportages télévisés détournés etc…), il a toujours su se défendre et rester présent, auprès des citoyens calaisiens. Le représentant, Kévin Reche, ne faisait alors partie d’aucun parti politique. Le collectif Sauvons Calais a pour ambition de rassembler et non de diviser, donc accepte toutes les personnes souhaitant s’opposer à l’immigration. De droite, ou non.
–Le collectif SC ne faibli pas face aux très nombreuses menaces reçus de la part d’extrémistes de gauche et de Bisounours en tout genre. S’il veut manifester, il manifestera, peu importe les insultes ou les menaces reçus la veille. Au contraire de Sauvons Calais, le collectif des calaisiens en colère (mais uniquement derrière un PC apparemment) faibli aux menaces. Nous en avons eu la preuve quand ils ont annulé une de leur manifestation car ils auraient reçu des menaces de mort. D’ailleurs, nombreux sont les calaisiens qui ont demandé des preuves (captures d’écran des messages) en vain.
–Le collectif LCEC a pour vocation de s’attribuer le monopole du mouvement anti-immigration calaisien. Depuis sa création, il ne cesse de jouer le jeu des journalistes et du gouvernement en qualifiant SC de « raciste-facho » qui roule pour un parti politique (étonnant pour quelqu’un inscrit sur les listes FN de Calais). Contrairement à celui-ci, Sauvons Calais s’adapte et laisse émerger plusieurs petits groupes anti-immigration au sein de la ville, sans en faire des « adversaires » ou des « concurrents ». Ce qui fait de lui le collectif de lutte contre l’immigration le plus populaire à Calais !
–Le collectif SC assume pleinement être contre l’immigration et ses membres aussi. Le collectif LCEC n’a rien trouvé de mieux que de masquer ses membres à l’aide d’un masque blanc sur lequel est dessiné une larme de sang. Rappelant d’ailleurs le blason du Ku Klux Klan.

Communiqué de Kévin Reche

Pour rétablir l’ordre et la sécuritéà Calais : expulsons tous les clandestins !

Le déplacement de Bernard Cazeneuve (Ministre de l’intérieur) et de Manuel Valls (Premier ministre) à Calais n’aura fait qu’accentuer le problème migratoire que rencontre actuellement notre ville. En effet, alors que la majorité des Calaisiens attend une réponse concrète et efficace face aux différents problèmes causés par les clandestins, le gouvernement socialiste préfère aider les illégaux à s’installer sur nos terres aux frais des contribuables français.

D’ici 2016, un nouveau camp va naître dans la ville pouvant héberger 1.500 clandestins. Quota qui ne sera pas respecté, comme d’habitude. En tant qu’habitants de Calais, nous sommes les seuls à pouvoir constater l’échec total du projet du gouvernement visant à rétablir la sécuritéà Calais en ouvrant le camp Jules Ferry à 400 délinquants sans-papiers. Les riverains résidant Zone des Dunes subissent quotidiennement (dans l’indifférence des autorités publiques) des vols et des effractions. Une insécurité insupportable s’est installée aux abords du camp mettant même en danger la vie d’une mère de famille qui a dû se réfugier plusieurs fois dans sa cave.

La solution : renvoyer ces délinquants dans leur pays ! Par définition, un clandestin a violé la loi française en entrant illégalement sur le territoire français. Le DEVOIR des autorités compétentes est donc de reconduire ces gens chez eux avec la plus grande fermeté. Nous ne pouvons pas nous permettre d’accueillir toute la misère du monde en France.

Calais ne veut pas de ces pseudo-réfugiés.

Calais ne veut pas de bidonvilles de clandestins à chaque coin de rue.

Calais n’a pas vocation à devenir une colonie africaine.

Les Calaisiens ont encore le droit de vouloir vivre en sécurité, chez eux et de dire non à la submersion migratoire !

Kévin Reche, responsable du collectif Sauvons Calais et délégué pour le Parti de la France du Calaisis

Stoppons les « on dit » !

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– On m’a dit que Sauvons Calais était raciste, xénophobe et néo-nazi ?

Oui, sans doute. Que ce soit dans les médias ou sur les pages des bisounours humanistes, le collectif est jugé en tant que tel. Mais bon, la plupart des personnes qui nous traitent de la sorte ne connaissent même pas les définitions de ces mots. Puis à vrai dire, le mot « raciste » sert en tant que dernier argument, à défaut d’en avoir d’autres… ;-)

– On m’a dit que le collectif s’était politisé ?

Encore une fois, la stupidité des gens atteint son paroxysme. En effet, derrière le collectif Sauvons Calais il y a bien de la politique, mais aucun parti ne le représente. Comme expliqué auparavant dans de nombreux communiqués, nous avons décidé de s’ « allier » avec le Parti de la France. Pourquoi ? Car nous estimons, tout simplement, que rien ne peut être fait, ni même envisagé, sans arrières politiques. D’ailleurs, c’est grâce à ce parti que le représentant de Sauvons Calais peut se permettre de se présenter aux élections locales. Alors oui, parallèlement il y a de la politique, mais rien, absolument rien, n’a de conséquence ou d’influence sur le développement du collectif.

– On m’a dit que Kévin Reche lâchait tout ?

Made in Nord Littoral ! Rien à ajouter. :-)

D’autres « on dit » ? Posez-nous votre question ici ! (Ou en commentaire)

Et si on déplaçait la frontière ?

Mots-clés

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Le problème migratoire à Calais ne vient pas uniquement de l’incapacité du gouvernement socialiste à gérer la situation, il vient aussi à cause de la trop grande tolérance de nos voisins anglais. En effet, en Angleterre, vous n’avez pas besoin de papiers pour résider ou travailler sur le territoire. Main d’œuvre bon marché. Voilà d’ailleurs pourquoi les migrants sont nombreux à vouloir entrer en Angleterre.

Sauf que voilà, l’Angleterre ne faisant pas partie de l’espace de Schengen, ses frontières sont fermées. Et devinez où se situe la frontière de l’Angleterre ? Vous le devinerez vite, à Calais (traité du Touquet). Donc les migrants ne pouvant pas passer la frontière se retrouvent bloquéà Calais et non-pas à Douvres.

LondonCalaisParis

Qu’ils assument leur tolérance !

Le culot des anglais : envoyer de l’argent à la ville de Calais pour sécuriser la frontière franco-britannique. Outre-manche, les malins politiques british s’en donnent à cœur joie. Alors que les anglais pourraient revoir leur politique d’immigration, ils préfèrent entretenir le « blocage » des clandestins dans notre cité. Quoi que, nous pouvons les comprendre vu ce que nous subissons.

Alors oui, déplaçons la frontière de Calais jusqu’à Douvres ! Que les anglais assument leur politique d’immigration, et qu’ils laissent les français respirer un peu. Bien que nous n’avons rien contre le peuple anglais en lui-même, cette indifférence doit cesser.

Lire le traité du Touquet

Quoi de neuf à Calais ?

Depuis la fondation de notre collectif de lutte contre l’immigration et les associations venant en aide aux clandestins, la situation migratoire à Calais n’a cessé de s’empirer. Non seulement de plus en plus de migrants illégaux s’installent dans la ville, avec la complicité du gouvernement et des associations immigrationnistes, mais surtout les habitants fuient Calais.

 


Alors que la logique imparable du renvoi au pays de ces délinquants étrangers semble évidente, la municipalité menée par madame Bouchart continue de nier cette solution. Celle-ci préfère parquer les migrants dans un coin isolé de la zone Calaisienne afin de cacher la réalité aux yeux des habitants et des touristes, de moins en moins nombreux.

 


Prochainement, 500 000 euros vont être déboursés afin de créer un nouvel espace dédié exclusivement aux clandestins. Le troisième pour être précis. Les migrants auront accès à l’eau potable, aux douches et toilettes, à l’électricité et d’autres ressources aux frais du contribuable, bien évidemment. La mairie espère un remboursement de la part du gouvernement. De quoi faire rire les clandestins mais aussi le système socialiste.

SC se désolidarise des forces de l’ordre

Suite à la réaction des CRS face aux manifestants de My Ferry Link, le collectif Sauvons Calais ne soutiendra plus les forces de l’ordre à compter d’aujourd’hui. Ce qui ne veut pas dire qu’il sera hostile, bien entendu.

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Nous sommes bien conscients que ce « gazage » n’est pas volontaire de la part des CRS mais que l’ordre vient de la hiérarchie. Le problème, c’est que nous avons à cœur de défendre notre ville, mais également ses habitants. Pour la plupart d’entre-vous, vous avez trouvé scandaleux que des personnes manifestant pour leur travail se fassent opprimer à ce point, et que des migrants clandestins pour la plupart agressifs puissent manifester illégalement sans en être inquiétè, ce qui a motivé notre décision.

Mais au fond, qu’est-ce qui va changer ?

En stoppant notre soutien, nous entendons arrêter de dénoncer les problèmes que les forces de l’ordre rencontrent à cause des clandestins. Nous entendons également arrêter de manifester en soutien à la police face au gouvernement, aux associations de pro-clandestins et aux différentes personnes hostiles à leur métier. Ce sera l’occasion pour la police et les gendarmes de manifester leur mécontentement, si toutefois ils en ont envie. Sauvons Calais n’est pas hostile aux forces de l’ordre pour autant.

Vidéo disponible ici.

Calais : le gouvernement se soumet

Plusieurs associations telles que Calais Ouverture & Humanité, le Secours Catholique ou encore Salam avaient décidé il y a quelques jours d’arrêter d’entretenir les camps de déserteurs clandestins, afin de clamer à l’État leur manque de moyens pour faire face aux nombreux migrants de plus en plus nombreux et agressifs. Chose faite, après quelques manifestations de clandestins et quelques agressions sur le peuple calaisien, le gouvernement a donné raison aux associations de pro-clandestins.

Pour s’excuser de ne pas s’occuper assez des migrants, Cazeneuve et compagnie ont décidé d’ouvrir de nouvelles places au camp Jules Ferry et d’y mettre, à disposition des illégaux, de l’eau potable ainsi que dessanitaires.

Qui d’autre que les habitants de la ville a le droit de décider du sort de Calais ?

Le gouvernement socialiste vient de prouver, encore une fois, sa compassion la plus totale avec les clandestins et les associations immigrationnistes.

Plus d’informations dans un prochain article, plus détaillé.

Contre-manif : un succès

Face à la journée mondiale des réfugiés, la journée contre l’immigration.

Sauvons Calais a organisé une contre-manifestation, dans le but de s’opposer pacifiquement mais fermement à la marche des crasseux d’extrême-gauche. Une centaine de personnes a répondu présent à l’appel lancé par notre collectif, relayé par les médias et les groupes nationalistes. Pour une action prévue seulement quelques jours avant la date butoir et sans réelle organisation digne d’une manifestation, nous pouvons être satisfaits de la mobilisation. Pour info, le cortège des pro-clandestins n’aura réuni que 500 personnes, dont à peine une cinquantaine de français, pas forcément calaisiens, le reste étant des clandestins.

Le rendez-vous était fixéà 13h30 sur le parvis de l’hôtel de ville de Calais. Bien avant notre arrivée, la place était déjà surveillée de très près par les forces de l’ordre. Le cortège de pro-clandestins et clandestins s’est dérouté, pour « esquiver » notre contre-manifestation, sous les ordres de la sous-préfecture de Calais. Tout s’est déroulé dans la bonne humeur, avec la présence de nombreux médias tels que TF1, Radio6, La Voix Du Nord, France Télévision et bien d’autres. Nous avons également eu la fierté d’essuyer quelques insultes d’extrémistes de gauche, rapidement contrées par nos slogans très… pointus. Notre message est passé.

Merci aux participants et à très vite !

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